Abdoulaye Dia, Directeur général Senico : « Les études sont importantes, il ne faut pas les négliger, mais mon parcours témoigne aussi du fait qu’on peut réaliser des choses sans être allé à l’école. Il faut juste croire aux vertus du travail et être persévérant (…) J’achetais du poisson que je séchais et que je revenais vendre au Sénégal. Avec mes 130 000 francs d’économies, je reviens à Tamba et je loue une table à 3000 francs pour vendre des produits divers (…) J’étais un des premiers sénégalais à être propriétaire d’une boutique. Je travaillais seul jour et nuit. Je me souviens que je me réveillais à quatre heures du matin pour confectionner des sachets de café et de lait en poudre, ou encore pour découper du beurre (…) L’entrepreneuriat est une activité difficile et qui demande de la persévérance. Il faut beaucoup de souffle pour arriver à ses fins »
Abdoulaye Dia, Directeur général Senico : « Les études sont importantes, il ne faut pas les négliger, mais mon parcours témoigne aussi du fait qu’on peut réaliser des choses sans être allé à l’école. Il faut juste croire aux vertus du travail et être persévérant (…) J’achetais du poisson que je séchais et que je revenais vendre au Sénégal. Avec mes 130 000 francs d’économies, je reviens à Tamba et je loue une table à 3000 francs pour vendre des produits divers (…) J’étais un des premiers sénégalais à être propriétaire d’une boutique. Je travaillais seul jour et nuit. Je me souviens que je me réveillais à quatre heures du matin pour confectionner des sachets de café et de lait en poudre, ou encore pour découper du beurre (…) L’entrepreneuriat est une activité difficile et qui demande de la persévérance. Il faut beaucoup de souffle pour arriver à ses fins »
Abdoulaye Dia, Directeur général Senico : « Les études sont importantes, il ne faut pas les négliger, mais mon parcours témoigne aussi du fait qu’on peut réaliser des choses sans être allé à l’école. Il faut juste croire aux vertus du travail et être persévérant (…) J’achetais du poisson que je séchais et que je revenais vendre au Sénégal. Avec mes 130 000 francs d’économies, je reviens à Tamba et je loue une table à 3000 francs pour vendre des produits divers (…) J’étais un des premiers sénégalais à être propriétaire d’une boutique. Je travaillais seul jour et nuit. Je me souviens que je me réveillais à quatre heures du matin pour confectionner des sachets de café et de lait en poudre, ou encore pour découper du beurre (…) L’entrepreneuriat est une activité difficile et qui demande de la persévérance. Il faut beaucoup de souffle pour arriver à ses fins »
Via SansLimite